Au XVIIe siècle, Louis XIV ordonna la construction de ce qui allait devenir le palais le plus somptueux de la royauté européenne à l’époque. Témoin de l’histoire de la France, c’est l’un des plus visités au monde et, dit-on même, l’un des plus beaux.

C’est un travail architectural essentiel pour connaître l’histoire de la France et l’un des palais les plus majestueux connus dans le monde. Le château de Versailles règne dans le pays des Gaulois depuis 1661 et sa construction est ordonnée par Louis XIV, dans le but de s’éloigner du Paris toujours conflictuel et vindicatif. 800 hectares, 20 km de routes, 200 000 arbres, 35 km de canalisations, 11 hectares de toits et plus de 2 000 fenêtres sont quelques-uns des grands personnages qui rassemblent l’un des plus vastes complexes monarchiques de la vieille Europe.

Située à Versailles, au cœur de l’Île-de-France, ses trois palais beurette porno, son parc et ses jardins luxuriants constituaient l’image la plus représentative de la royauté française. Louis XIV voulait y installer la cour, après une première étape de grand manoir de chasse couvrant les temps morts du puissant monarque. Les architectes renommés André Le Nôtre et Mansart, largement inspirés du modèle italien de l’époque, ont remodelé et étendu le Palais pendant plus de 20 ans pour lui donner l’aspect actuel.

Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis la fin des années 70, le château de Versailles est un exemple de l’art français, de style classique, avec de grandes sculptures et des fontaines destinées à vanter l’importance de la monarchie. Il a reçu le commandement de construire au milieu d’une forêt marécageuse, aidé de centaines de sujets et de journaliers liés au pouvoir, et a été témoin de grands chapitres de l’histoire de la France, en particulier de l’époque de l’Ancien Régime. Par exemple, elle a vu comment son fils avait répudié la reine Maria de Médicis grâce à des informations contre le célèbre cardinal de Richelieu et avait été bannie au château de Compiègne.

Le palais est rapidement devenu le modèle à imiter par toutes les cours européennes et certains souverains ont choisi de le reconstruire dans leur pays, créant des répliques presque exactes, telles que Luis II de Bavière ou la Maraja de Kapurta. En 1789, il cessa de fonctionner comme siège officiel du pouvoir après plus de cent ans de résidence du roi de France (1682 – 1789) pour devenir plus tard le Musée de l’histoire de France à la demande de Luis-Felipe, qui se leva. au trône en 1830. À l’heure actuelle, le palais est utilisé dans certains événements d’État, en plus du siège de l’Assemblée nationale française gros seins (réunion du Congrès et du Sénat) qui se réunit dans les grands sujets d’État tels que les réformes constitutionnelles.

La grande galerie de miroirs de style baroque et de 73 mètres de lac, le théâtre de la reine, le temple de l’amour, le Grand Trianon – un petit palais de marbre rose – ou le domaine de Marie-Antoinette, lieu où L’épouse de Louis XVI a eu une vie simple et campagnarde, ils sont parmi les points les plus visités et les plus visités de ce majestueux château.

Cahier Ségurien n°4 :  » Quel Amour d’Enfant!  » Présentation, par Marielle Gastellier

La surdouée et le mauvais père, par Francois Labadens

De l’enfant romantique à l’enfant victime : l’enfant mal éduqué, par Yves Pincet

Les révoltes de Giselle, ou les dessous d’un procès, par Jacques Chupeau

Louisa may alcott, sophie de Ségur : la recherche du bonheur, par Valérie Lastinger

Cendrillon en désordre, par Isabelle Nières-Chevrel

Léontine : les hommes oui ; les femmes, non., par Claudine Beaussant

Plaidoyer pour Giselle, par Bernard Derivry

Les griffes de l’ours, par Elise Noetinger

Le désamour des enfants, par Francis Marcoin

La relation conjugale dans trois romans de la comtesse de Ségur, par Claudine Giacchetti

De Gizelle a Giselle en passant par Marianne : un amour de comedie, par Helène Dottin

Une histoire de la conscience, par Rémi Saudray

Un éloge de la fiction, par Edith Perry

Rogatons et salmigondis

Les petites grilles rebelles d’Héraclius Doguin

La comtesse de Ségur et les internautes

Les petites grilles rebelles, solution

Edition octobre 2003 – Prix – 9 € – disponible à l’association.

Cahier Ségurien n°5 :  » Le Mauvais Génie » Présentation, p.3
Le Mauvais Génie ou Le Dévoreur de Turkeys, par Claudine Beaussant
Le bienfaiteur excentrique : Hector Malot et la comtesse de Ségur, p.9, par Yves Pincet
M. Georgey et le don des langues, p. 13, par Isabelle Nières-Chevrel
Comment on s’injurie chez Mme de Ségur, p.22, par Alain Lanavère
La quête de la vérité, p.30, par Edith Perry
La complainte du mal-aimé, p.40, par Valerie Lastinger
Le Mauvais Génie, une utopie républicaine ?, p.47, par Bernard Derivry
Voleurs et voleuses dans le roman ségurien,  p. 60, par Rémi Saudray
La comtesse de Ségur s’en va-t-en guerre, p.69, par François Labadens
La comtesse de Ségur et la conquête de l’Algérie, p.77, par Jacques Chupeau
L’abbé Gaston de Ségur eût-il pu sauver l’âme d’Alcide,  p.84, par Jean Lihouri

Rééditions

Les Mémoires d’un troupier (extraits), p.87,  par Anatole de Ségur
Le Dimanche des soldats (extraits), p.91, par Anatole de Ségur
Autour de la statue de la comtesse de Ségur :
La statue et les idées de la comtesse de Ségur, p.96, par Jules Ernest-Charles
La comtesse de Ségur, p. 101, par Jules Lemaître
Trois auteurs en quête de personnages séguriens : Gide, Cocteau, Herbart, p. 103, par Georges Dottin
Rogatons et salmigondis (pp.107-113)
A propos de la fortune éditoriale du Mauvais génie — Dindes et turkeys – Turkey… et Turquet. par Hélène Jaulme
Alcide et Tintin
Les petites grilles rebelles d’Héraclius Doguin
Les malheurs de Sophie : Vous avez dit « aimer » ?
 par Joël Bagage
Solution du problème d’H. Doguin

Les Amis de la Comtesse de Ségur –  mars 2005 – 9 € – disponible à l’association

Cahier Ségurien n°6 – Diloy le chemineau Les cheminements d’un chemineau, par Joël Bagage
Félicie : entre parole et silence, par Edith Perry
Du malheur de s’appeler Félicie quand le bonheur est dans le pré, par Helene Dottin
Apologia pro Felicia, par Lucien Bourrat
Une « grosse voix » au cœur tendre, par Fortunade Daviet-Noual
« Fameux lapin» ou « drôle de zèbre» ?, par Jean Lihouri
« Dieu ! que ces enfants sont insupportables!», par Alain Lanavere
Notes et hypothèses sur la chronologie de Diloy le chemineau, par Jean Rajoutin
Diloy le chemineau ou le travail devient une valeur noble, par Bernard Derivry
«Il ne faut pas faire de gribouillage sur les registres» : crise d’identité dans deux familles séguriennes, par Valerie Lastinger
« Je vais lui donner JEAN BOURREAU et LES DEFAUTS HORRIBLES», par Isabelle Nieres-Chevrel
Diloy le chemineau, ou le retournement textuel, par Elise Noetinger
Passe encore d’abréger, mais fallait-il récrire ?, par Jacques Chupeau
Le manuscrit de Diloy le Chemineau, par François Labadens
Le découpage en chapitres de Diloy le chemineau, par Rémi Saudray
Les images de Castelli, par Bernard Derivry
Le mauvais Génie, un drame bourgeois, par Francis Marcoin
José Cabanis débiteur de Mmede Ségur, par Alain Lanavere
Rogatons et salmigondis
Les petites grilles rebelles d’Héraclius Doguin .
La comtesse de Ségur à l’université : les témoignages de Gérard Gengembre et de Fortunade Daviet-Noual
Notes de lectures –
Deux nouveaux Malheurs de Sophie, par Reboux
Solution du problème d’H. Doguin

Cahier Ségurien n°1 :  » L’Auberge de l’Ange Gardien  » L’Auberge de l’Ange-Gardien : Présentation – , par Rémi Saudray,
Allons-nous être heureux, mon Dieu !  – par Hélène Jaulme,
La riche onomastique de l’Auberge de l’Ange-Gardien ou le génie des noms dans l’Auberge de l’Ange-Gardien –, par Marie-José Strich,
Vivre et mourir à Loumigny –, par Francis Marcoin,
Le diable et le bon Dieu dans l’Auberge de l’Ange -Gardien  » –, par Hélène Dottin,
Les anges de l’Auberge de l’Ange-Gardien –, par Marielle Gastellier,
Les manifestations de l’Amour et de la Haine dans l’Auberge de l’Ange-Gardien – par Claudine Beaussant,
Les chemins de la Providence- par Jacques Chupeau,
Un menu dans les règles de l’art –, par Laura Kreyder,
L’ogre et le petit Poucet – par Isabelle Nières-Chevrel,
Le paradoxe de l’Ange-Gardien ou les malheurs du Général Dourakine – par Penny Brown,
L’Auberge de l’Ange-Gardien : deux soeurs, un gros général et un petit héritage – par Valérie Lastinger,
Une belle construction  – par Bernard Derivry,
Le roman discursif  – par Rémi Saudray,
Étude comparative de cinq illustrateurs de l’Auberge de l’Ange-Gardien  – par Bénédicte Le Ru.

Edition Septembre 2000 – Prix : 5,35 € – disponible à l’association

Cahiers Séguriens n°2 :  » Le Général Dourakine  » – La veine slave dans l’oeuvre de la Comtesse de Ségur : par Marielle Gastellier,
– Dourakine en Ségurie, où la Russie racontée aux enfants : par Jacques Chupeau,
– Les lettres de Catherine Rostopchine à Gaston de Ségur (1840 – 1855) : par Hélène Jaulme,
– Le Général Dourakine ou le petit théâtre de la cruauté : par Hélène Dottin,
– Le croquemitaine et la mère Fouettard : par Isabelle Nières-Chevrel,
– Manifestation de l’esprit frappeur dans l’oeuvre de Sophie de Ségur : par François Labadens,
– Le Général Dourakine : « Cherche ami, bien sous tout rapport. » : par Valérie Lastinger,
– Maria, Nathalia et Natasha : par Claudine Beaussant,
– La chute de l’homme (et de la femme) dans un livre pour enfants : par Penny Brown,
– La nourriture et ses fonctions dans l’Auberge de l’Ange-Gardien et dans le Général Dourakine : par Bernard Derivry,
– L’art de conclure : par Rémi Saudray.
Notes et Documents
– Papofski… ou Protassof ? (La Comtesse Catherine Rostopchine racontée par Lydie Rostopchine)
– Piotrowski/Ségur (les sources du chapitre XIX du Général Dourakine)
– Deux rencontres littéraires – Piotrowski et Pajarski Aragon et Dourakine, par Laura Kreyder
Hommages
– Jacques Laurent, par Marie-José Strich, José Cabanis, Jacques Chenevièvre et Jules Lemaitre
Inédits
– Deux lettres de la Comtesse de Ségur (extraits)
– Lecture du Cahier précédent, par Bernard Derivry

Edition Septembre 2001 – Prix : 7,65 € – disponible à l’association

Cahier Ségurien n°3 :  » La Fortune de Gaspard  » La bonne fortune de Lucas, par Claudine Beaussant
Sur un chemin raboteux, par Rémi Saudray
« Le Généreux Bienfaiteur » : la récriture d’un motif, par Isabelle Nières-Chevrel
Savoir lire: pouvoir ou perversion?
La Fortune de Gaspard et le problème de savoir lire dans la littérature enfantine, par Penny Brown
L’école et le progrès dans la Fortune de Gaspard, par Yves Pincet
Madame de Genlis et Pamela: Adoption, bonnes intentions et rédemption, par Valérie Lastinger
Un cousinage littéraire : La Fortune de Gaspard et La petite Fadette, par Claudine Giacchetti
Lucas, jeune agriculteur du Pays d’Ouche, par Hélène Jaulme
La Fortune de Gaspard ou les surprises de L’amour, par Hélène bottin
L’unique objet du désir dans La Fortune de Gaspard, par Simone Muller
L’usine et le château, par François Labadens
Où Gaspard raconterait Féréor, par Bernard Derivry
Articles divers
La comtesse de Ségur, une étrangère xénophobe, par Joel Bagage
Les Malheurs de Sophie lus par Nabokov, par Laura Kreyder
Rogatons et salmigondis
Rumeurs… extrait d’une lettre inédite de la comtesse de Ségur
Voyage du Président de la République dans lest de la France (12 septembre 1850)
In memoriam : Marthe de Hédouville
La comtesse de Ségur et les internautes
Percaline
Sophie à l’école
Lecture du Cahier précédent,
 par B. Derivry
Les petites grilles rebelles d’Héraclius Doguin

C’est le 19 Juillet 1799 que naissait à Saint-Pétersbourg en Russie, Sophie Rostopchine, future Comtesse de Ségur. Le 14 Juillet 1819, Sophie épouse Eugène de Ségur à Paris. En 1821, le jeune couple achète le château et la terre des Nouettes à Aube. Dès lors, et jusqu’en 1872, le château des Nouettes va devenir « … un lieu de bonheur pour la Comtesse de Ségur qui y passa les plus beaux moments de son existence » (J.M. Ergal et M.J. Strich – la Comtesse de Ségur – 1990). A cinquante-sept ans, en 1856, la Comtesse de Ségur fait son entrée dans la littérature, devenant l’auteur vedette de la Bibliothèque Rose, célèbre collection de la Librairie Hachette. Les Nouettes, Aube et la Normandie auront une place de première importance dans ses écrits. C’est en 1980 que se situe la création de l’Association des Amis de la Comtesse de Ségur dont l’objectif principal a été l’organisation du Musée rassemblant des docum

La visite du musée de la Comtesse de Ségur propose quatre salles :

Venez découvrir « … ce musée coquet et plein de charmes. Le parquet craque…et il faut emprunter un escalier étroit pour pénétrer plus avant dans ses trésors ….Quelques éditions anciennes et de nombreuses photographies accompagnent le visiteur d’aujourd’hui. Derrière l’une des vitrines, des jouets d’enfants, des jeux d’antan…Cette dînette, cette poupée, n’ont-elles pas appartenues à Camille et Madeleine ? L’imagination du visiteur s’agite, troublée…Lui reviennent en mémoire les images nées de ses premières lectures : Les Petites Filles Modèles, Les Malheurs de Sophie…. » (Nathalie Colleville – livre/échange (Vie littéraire et actualité du livre en Basse-Normandie) – juillet-août 2007, p.4).

La salle Russe et la vie quotidienne en Russie : enfance de la jeune Sophie en Russie

La salle Ségur : vie et oeuvre de la Comtesse de Ségur – évocation de sa famille, ses enfants, le château des Nouettes et son oeuvre.
Chère Comtesse, ce musée  «  …parle à ses visiteurs de leurs lectures d’enfance comme cette région et les Nouettes parlaient à votre imagination…
.Aviez-vous imaginé un seul instant que vos récits traverseraient les siècles et les décennies ?
… (N. Colleville)

La salle des Petites Filles Modèles : jeux, jouets, mannequins évoquent l’univers des Petites Filles Modèles

La salle d’exposition : Chaque année, le musée organise des expositions se rapportant à l’œuvre de la Comtesse de Ségur et commémorant des anniversaires particuliers.

A partir du 14 juin 2008

Inauguration des expositions pendant la Journée Portes ouvertes le 14 juin de 14h à 18h – Promenade dans les châteaux normands familiers de la Comtesse de Ségur depuis son arrivée au château des Nouettes en 1821.

Les jeux de Plein Air – Sophie invite ses cousins à venir partager ses jeux dans le parc du château. Ce thème servira à la présentation de jeux et jouets du temps des petites filles modèles.

Un univers d’enfant à découvrir à travers cette belle collection.

du 21 juin 2008 au 31 août 2008

Hommage à Gaston de Ségur –  Exposition prêtée par l’œuvre  de Saint-François de Sales de Paris. Inauguration de l’exposition le samedi 21 juin à partir de 15h